mercredi 22 avril 2009

Suite de "pardon"

Mais on ne rit pas avec ces choses.
Jamais, pendant cinquante mois, vous n'êtes venu me trouver, ni à Tracy-le Val, ni à Crouy, ni à 304, ni à tahure.Souin, ni au fort de Vaux, ni au Reichackerkopf, ni à Maurepas, ni à Brimont, ni à la Cote 304, ni à Tabure. je ne vous ai vu vous nulle part, me parler de vos lois "sur les congrégations"et vous osez me les sortir aujourd'hui!
Vous n'y pensez pas!
Ni moi, ni aucun autre( car tous ceux qui étaient en âge se sont battus), ni aucune femme , nous ne reprendrons la route de la Belgique.
Cela jamais .
Vous ferez ce que vous voudrez, vous prendrez nos maisons, vous nous ouvrirez vos prisons_ il s'y trouve en effet des places laissées par qui vous savez_soit.
Mais, partir, comme nous l'avons fait en 1901, Jamais .
Nous avons aujourd'hui un peu plus de sang dans les veines qu'alors, et puis, soldats de Verdun, nous avons appris aux bons endroits, ce que c'est que s'accrocher à un terrain. (àsuivre)

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