Ma grand mère Berthe se plaignait toujours de ne pas avoir de détails sur les manœuvres au front pendant la guerre ;
Elle écrivait encore: Mon chéri,
Je suis bien contente que vous vous construisiez de bons abris et j'espère qu'à l'heure qu'il est tout est fait .
Tu ne m'as jamais dit à quelle distance vous étiez des Boches et où était l'infanterie française ,ce ne sont pas je pense des secrets d'État ! ......;;
Georges et Yvonne se joignent à moi pour t'embrasser et te dire toujours : Courage et patience!
B.P,
Dinan,19 Février 1916
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